Après un séjour à l’hôpital, il apprend que ses 17 chiens ont été adoptés !

Victime d’un traumatisme crânien suite à un accident de la route, un homme a signé, sur son lit d’hôpital, un texte d’abandon autorisant la SPA à mettre à l’adoption ses 17 chiens. Des toutous qui ont trouvé des nouvelles familles, mais un homme qui conteste les conditions de sa signature.

Illustration : "Après un séjour à l’hôpital, il apprend que ses 17 chiens ont été adoptés !"

La SPA se retrouve une nouvelle fois confrontée à une affaire d’adoption qui ne plaît pas à celle qui se dit victime. Au cœur d’une affaire qui, pourtant, de l’aveu de la Société Protectrice des Animaux, est « classée », comme elle l’assure à Ouest-France. Un classement que conteste Pierrick Davalan, même s’il ne peut réfuter la présence de sa signature sur un document d’abandon…

Cet homme, ancien professeur de mathématiques, est propriétaire de 17 chiens. Des chiens dont il n’a plus la garde, depuis un accident de la route et un traumatisme crânien qui a engendré une hospitalisation. « C’est la maire, Martine Connan, qui m’a conduit chez le médecin. Celle-ci a pris la décision de m’hospitaliser. La prise en charge de mes chiens a été un gros souci auquel j’aurais dû penser avant. J’ai été conduit à l’hôpital de Carhaix. Ensuite j’ai un trou de mémoire. »

Des chiens à l’abri et… adoptés !

Martine Connan fait appel à la SPA pour prendre en charge temporairement les 17 chiens de Pierrick, tout en assurant à leur propriétaire qu’ils « étaient à l’abri » dans des « refuges où il y avait de la place », assure l’homme au quotidien régional. Mais un conciliateur de justice a informé Pierrick Davalan que ses toutous avaient été… adoptés !

L’homme aurait signé « un texte d’abandon, sur lequel la SPA s’appuie pour repousser catégoriquement toute tentative de récupérer mes animaux », précise-t-il. Une signature qui aurait eu lieu à l’hôpital. Des conditions qu’il conteste aujourd’hui.

A lire aussi : 10 000 km séparaient ces 2 chiens tristes et malades, sans se douter que leur rencontre allait les faire renaître

« Aujourd’hui, la SPA a une politique de récupération de chiens errants et comme je n’étais pas là pour les soigner... Restent, cependant, les conditions de ma signature. » Lui souhaiterait désormais récupérer le matériel d’attelage qui se trouve au sein du refuge de la SPA.

3 commentaires

  • Invité

    Invité a écrit : 03/09/19

    si l'homme veut récupérer son matériel, qu'on lui rende...les toutous ont trouvé de gentilles familles, c'est le principal

      Répondre (1)   Signaler

    Invité

    Invité a écrit : 03/09/19

    comment ca son materiel ?? c'est animaux sont les siens il les aime et je trouve ca scandaleux quon ne lui rende pas ses animaux !!

      Répondre   Signaler


  • Invité

    Invité a écrit : 04/09/19

    il est dit "qu'il veut récupérer" le matériel d'attelage (je n'ai pas dit (heureusement) que les animaux étaient "son matériel" (il est dit cela dans le dernier paragraphe).

      Répondre   Signaler


  • Image de profil