Une femme croyait ne plus jamais revoir son chat qui a pourtant refait surface après 8 ans d'absence

Ne jamais perdre espoir. C’est la précieuse leçon de vie que l’on peut retenir en découvrant l’incroyable histoire d’un chat appelé Mymine. Son heureux dénouement prouve que, même des années après la disparition d’un animal de compagnie, les chances de le retrouver vivant et indemne s’amenuisent, certes, mais ne sont pas nulles.

Ce magnifique matou au pelage bicolore avait 7 ans au moment où il s’était volatilisé. Aujourd’hui, de retour auprès des siens après une très longue absence, il en a 15.

Sa propriétaire Cyndie Melis l’avait adopté à Lyon alors qu’il n’était encore qu’un minuscule chaton de 3 mois. Après être partie de Villeurbanne, cette mère de famille de 36 ans avait confié son ami félin à ses parents, qui habitent Château-Gaillard dans l’Ain.

C’est à ce moment-là que le quadrupède s’était échappé et avait complètement disparu. Cyndie Melis et sa famille étaient désemparées. Elles n’avaient aucune idée de l’endroit où il pouvait se trouver.

Photo d'illustration

Après l’avoir longtemps recherché en vain, Cyndie Melis devait se rendre à l’évidence ; elle n’allait probablement plus revoir son compagnon à fourrure.

Surprise et émotion

On imagine donc la surprise, l’émotion et la joie qu’elle a dû ressentir en apprenant qu’on l’a retrouvé 8 ans après. Cette merveilleuse nouvelle, c’est l’association « Les Chats sans foyer », basée à Ambérieu-en-Bugey à seulement une poignée de kilomètres de Château-Gaillard, qui le lui a annoncé.

Jacqueline Erment, trappeuse au sein de cette organisation, venait, en effet, de recueillir le chat le 29 mai 2025. Elle pensait alors avoir affaire à un animal errant. Il s’est toutefois avéré qu’il avait une famille et une maison. Les retrouvailles inespérées ont eu lieu peu après.

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Le récit de Mymine, que rapporte Le Progrès, témoigne aussi de l’importance de l’identification des animaux et du rôle essentiel joué par les associations. Sans elles, de tels dénouements seraient souvent impossibles.