Dans cette ville, les chiens pourraient perdre leur droit d'aller et venir !

Une ville de Chine a pris des mesures radicales contre les chiens. Les sorties sont terminées pour les canidés de grande taille. Une plage horaire a été aménagée pour les petites tailles. Enfin, l’adoption sans licence peut coûter très cher. Petit tour d’horizon de ces décisions qui ne font pas l’unanimité…

Illustration : "Dans cette ville, les chiens pourraient perdre leur droit d'aller et venir ! "

Hangzhou est une petite ville de Chine. Située à l’Est, elle vit notamment de son activité portuaire. Mais très récemment, ce n’est pas pour cette raison qu’elle a fait parler d’elle. La stupéfaction est de mise, chez ses habitants, après la publication d’un article sur le site officiel de la commune.

On peut ainsi y lire la nouvelle règlementation suivante : « Seuls les chiens de petite taille, d’une longueur inférieure à 60 centimètres et d’une hauteur inférieure à 45 centimètres, sont autorisés dans les principaux quartiers de la ville de Hangzhou?; les chiens de grande taille et les chiens féroces sont interdits, a annoncé la Commission de la gestion urbaine de la ville de Hangzhou. »

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Ainsi, une campagne de mise au pas a débuté ce 15 novembre. Elle se poursuivra jusqu’à la fin décembre 2018. Elle vise à contrôler « l’adoption illégale et les comportements incivils liés à la promenade des chiens », comme ajoute le quotidien de la ville, Qianjiang Wanbao.

S’ils sont autorisés, les chiens de petite taille n’ont pas le droit de sortir en dehors de la plage horaire définie : 19h-7h du matin. De leur côté, les chiens de grande taille sont eux privés de sortie, peu importe l’heure de la journée. Et pas question de rigoler avec cette nouvelle règle.

Une amende jusqu’à 1 270€…

Une simple violation placera le chien en fourrière. Son propriétaire devra s’acquitter d’une amende de 25 à 125 €. Pis, l’adoption sans licence d’un chien peut coûter jusqu’à 1 270€.

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Enfin, dernière chose mise en place par la commune, des cages-pièges. La ville précise : « La cage-piège est en matériau galvanisé, d’une hauteur de 30 centimètres, d’une longueur de 150 centimètres et d’une largeur de 50 centimètres. Une fois que le chien entre dans cette cage, cette dernière se referme automatiquement. »

Il n’est donc plus aussi facile de posséder un chien dans cette commune chinoise, et encore moins de le faire vivre convenablement.

2 commentaires

  • Nicole GIRARDET a écrit : 19/11/18

    Et si le chien placé en fourrière n'est pas réclamé par ses maîtres, finira-t-il dans une assiette ? ces chinois sont incapables de gérer convenablement les rapports entre animaux et humains, ils établissent des règles sans queue ni tête et les sanctions sont toujours d'ordre pécuniaire et surévaluées. Hormis les pandas, pour les chiens et les humains qui les aiment, il ne fait pas bon vivre en Chine !

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  • Invité

    Invité a écrit : 20/11/18

    c'est du grand n'importe quoi (encore la Chine !!!!)

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