Affaire Elisa Pilarski : des déclarations de son compagnon sur Curtis qui sèment le doute

3 mois après la mort d’Elisa Pilarski, jeune femme de 29 ans mordue par un ou plusieurs chiens dans l’Aisne, le doute subsiste autour de l’identité de ces derniers. Des déclarations faites par Christophe Ellul au sujet de l’Amstaff du couple ne contribuent pas à le dissiper.

Illustration : "Affaire Elisa Pilarski : des déclarations de son compagnon sur Curtis qui sèment le doute"

Depuis le drame survenu le 16 novembre dernier dans la forêt domaniale de Retz, Curtis, l’un des chiens American Staffordshire Terriers du couple que formait la victime avec Christophe Ellul, est détenu en fourrière. Une situation à laquelle ce dernier se bat pour mettre fin en s’attachant les services d’avocats spécialisés en droits des animaux.

Mais si l’on en croit les témoignages évoqués par Closer, certains propos tenus par celui qui avait découvert le corps sans vie d’Elisa Pilarski au sujet de Curtis ont de quoi surprendre.

Si l’on savait déjà que le chien avait mordu à 2 reprises depuis l’incident mortel (Christophe Ellul lui-même et une bénévole du refuge), le magazine en ligne rapporte cette phrase étonnante prononcée par le compagnon justement lorsqu’il a été agressé par Curtis en présence des gendarmes : « P*****, il m’a mordu ; il faut le piquer ! »

Une réaction que l’on pourrait bien évidemment imputer au stress (le chien y était aussi certainement sujet) et au choc du moment. Il l’a d’ailleurs lui-même relativisée en confiant, le mois dernier, à BFMTV que Curtis « n’aurait jamais touché Elisa ».

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Tout aussi déroutant a été l’avertissement concernant Curtis adressé par Christophe Ellul à ceux qui, comme lui, participaient à une partie de chasse au chevreuil début novembre, près de 2 semaines avant le drame : « Faites attention à mon chien, il est potentiellement en liberté. »

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