Basil, futur chien de thérapie, fait sa rentrée universitaire

Basil n’a que 2 mois et demi et ne pourra être certifiée qu’à partir de son premier anniversaire, mais cette future chienne de thérapie a déjà pris ses fonctions à l’université qu’elle a rejointe lors de cette rentrée. Elle n’a pas tardé à devenir populaire au sein du campus.

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En septembre dernier, l’université de Rhode Island à South Kingstown, dans le nord-est des Etats-Unis, accueillait un membre très spécial. Il s’agit d’une jeune femelle Labrador Retriever appelée Basil.

Le chiot de 10 semaines a été choisi pour devenir le futur chien de thérapie du centre de consultation psychologique à l’université. Sa mission consistera à réconforter les étudiants et le personnel sujets au stress et à l’anxiété, rapporte URI News.

Même si elle n’a pas encore commencé la formation qui lui permettra, vers l’âge d’un an, d’être certifiée, elle est déjà d’une aide précieuse pour ceux qui fréquentent l’université de Rhode Island.

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Psychological Consultation Center, University of Rhode Island / Facebook

Elle n’a pas attendu longtemps avant de devenir la star du campus. Tous connaissent son nom et viennent à sa rencontre dès qu’ils l’aperçoivent.

C’est Lindsey Anderson, directrice du centre de consultation psychologique, qui s’occupe de la jeune chienne et lui apprend les rudiments de son futur métier. Elle l’avait reçue gratuitement de la part de Peggy Brogan, propriétaire de l’élevage Boonefield Labradors dans le New Hampshire. L’éleveuse avait déjà fait don de chiens de thérapie à des services de police, écoles, hôpitaux et même pompes funèbres de la région pour qu’ils réconfortent les gens traversant des épreuves difficiles.

Une histoire de connexion

« Le but est vraiment d'amener les animaux dans les lieux où on a le plus besoin d’eux. Et il n'y a pas de plus grand besoin que dans les campus universitaires, compte tenu de ce qui se passe avec la santé mentale chez les étudiants. Jusqu'à présent, tous ceux qui ont interagi avec elle sont ravis », explique Lindsey Anderson.

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« Il s'agit simplement de connexion, poursuit-elle. Pour les personnes […] qui éprouvent une grande détresse, cette connexion avec un animal calme aide à réduire l'intensité émotionnelle et à réguler certaines des réponses physiologiques qui découlent d'une anxiété et d'un stress accrus ».

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