Joo
Le Lundi 05 Décembre 2011 à 15:34 - édité Le Lundi 05 Décembre 2011 à 15:37
Fadjen......Le taureau
Quand la corrida devient la Morrida sous la plume toujours très inspirée de Bebb.
Qu’y a t’il derrière le spectacle haut en couleurs, la musique, la foule, la gestuelle et les bas roses du torero ? Juste la mise en scène sinistre de la mort et de la torture d’un être sensible. Bebb a pris ses pinceaux noirs gris et blancs pour nous restituer cette réalité qu’il a intitulé la Morrida.
C’est ce regard là que nous porterons désormais sur “la danseuse ridicule” :
Je les entends rire comme je râle Je les vois danser comme je succombe Je pensais pas qu’on puisse autant S’amuser autour d’une tombe Est-ce que ce monde est sérieux ?
JE VOUSINVITE A ME REJOINDREPOURFETERNOELENSEMBLES.
Nous allons commencer avec nos amours d’animaux. Soit vous mettez une photo de votre animal
déguisé pour l’occasion, photo récente ou plus ancienne,peu importe….mais ces photos là,sont les plus mignonnes.
Soit vous mettez des montage photos……de vos animaux.
Nous ferons les adultes et la déco de noel ensuite.Ceci afin de regrouper les photos,pour quelles ne soient pas trop dispersées pour le concours ensuite.
MERCIde numéroter vos photos ( ex: fany 1 ensuite le titre…Fany 2…et le titre ) celà me sera plus facile pour les votes.
Joo
Le Jeudi 01 Décembre 2011 à 12:50 - édité Le Jeudi 01 Décembre 2011 à 12:54
“Il était une fois »…Combien de contes et de romans commencent par ces quatre petits mots là ?
Un appel de Lévriers sans frontières sur Actu animaux avait suscité ma curiosité en Novembre dernier. J’étais alors loin, si loin d’imaginer le sort réservé aux Galgos d’Espagne. De sites en sites, de photos en vidéos, reportages et articles m’ont fait découvrir toutes les atrocités que les Galgueros font subir à cette pauvre race. Au nom des coutumes…Foutues coutumes ancestrales.
Chaque image, toutes plus insoutenables les unes que les autres inondaient mes yeux de larmes.
Que faire quand on est si indignée derrière l’écran d’un ordinateur ? Juste continuer de cliquer ? Non, Ce n’est pas assez.
Tant pis pour les jolies petites robes en solde, il y a plus urgent. Et puis la table basse du salon tiendra bien encore jusqu’à l’année prochaine.
J’ai alors adopté une petite GALGA en Décembre. Elle est si douce, si affectueuse et ses petits yeux en amande me font complètement craquer elle est tellement adorable qu’une autre a suivi quelques mois plus tard, toute abîmée elle aussi mais toute autant en demande d’amour et de gentillesse.
Ca en fait au moins deux de sorties de là-bas mais il y en a tant d’autres. Je ne pourrai décemment pas en adopter d’autres. Personne ne peut adopter à l’infini.
Environ 450 GALGOSà la fin de chaque saison de chasse remplissent le refuge de SCOOBYMEDINA. Rien que pour ce refuge là, c’est enorme.
La peau couverte d’escarres, mutilés, à demi brûlés, les pattes cassées, la truffe arrachée et tout ce que l’on peut imaginer… Tous ne survivent pas, trop affamés, trop soumis, trop torturés… La loi du plus fort règne en maître dans la promiscuité de ce refuge en si piteux état. Les moyens manquent terriblement. En hiver bon nombre de chiens meurent des conséquences du froid ou sous les crocs des plus puissants et, crise économique oblige, plus aucune subvention n’est distribuée.
B….. de M…. ! Que je suis révoltée devant cette incommensurable dose de bêtise humaine. Comme si la terre ne portait pas encore assez de malheurs aux quatre coins du monde, humains, écologiques, économiques… et savoir qu’aucune supplication ni même conjuration ne fera cesser ce stupide acharnement sur ces animaux, puisque le pouvoir en place cautionne ce massacre, me dégoûte.
Il ne reste que le bénévolat pour tenter d’aider à soulager un tant soit peu cette cause. Quelques coups de téléphone échangés avec ODILE, présidente d’LSF, quelques rencontres et me voilà incorporée dans l’équipe des bénévoles au sein d’LSF.
J’applaudis le courage de cette femme et j’admire sa ténacité. Son indignation nourrit sa force. Sa colère alimente son énergie. La volonté et la résolution de sortir le plus possible de chiens de cet enfer sont devenues son sacerdoce.
LSF est désormais parmi les plus importantes associations de sauvetage de chiens en France. Près d’une cinquantaine de GALGOS par trimestre sont adoptés.
La contribution de chacune d’entre nous, comme elle le peut porte ses fruits. Nous ne sommes qu’une petite quinzaine, il faudrait que nous soyons plus, beaucoup plus. Oh, ça ne prend pas tant de temps que ça, quelques heures par-ci, par là. (…)
Il faut que le camion de SCOOBY, après nous avoir déposé les chiens à adopter, reparte plein en ESPAGNE à chaque fois.c’est notre défi. (…) Chaque animal qui monte dans le camion de l’espoir et sort de ce refuge en perdition est un animal sauvé. Etre famille d’accueil, pouvoir garder un chien quelques semaines chez soi en attendant son adoption définitive dans sa famille, lui consacrer un mètre carré pour son panier, lui offrir quelques croquettes. Est-ce irréalisable ? Non. Absolument pas. Beaucoup d’entre vous le peuvent mais ne s’impliquent pas. Pourquoi ? Peur de quoi ? Le regarder dormir, enfin repu et paisible après tous les sévices qu’il a endurés. Ce n’est pourtant que du bonheur. Le respecter, gagner sa confiance, le caresser …
Nous sommes conscients que cette bataille est titanesque .
Alors, à grands coups de gueule, à force de se faire connaître, à force de reveiller les consciences , à force de publier des reportages , à force de signer des pétitions… A force d’agir, nous caressons l’espoir d’arriver un jour, à coups de lois, à un épilogue joyeux. Nous rêvons de ce jour là où nous pourrons clore enfin ce sale bouquin. Mais ce n’est pas demain la veille.
Venez nous rejoindre, s’il vous plaît. Chacun peut apporter une petite pierre à cet édifice. Aussi petite soit-elle.
Joo
Le Samedi 26 Novembre 2011 à 22:59 - édité Le Lundi 26 Mars 2018 à 16:48
En validant la méthode substitutive au test de Draize, l’OCDE met un terme à l’horreur et la souffrance infligées à des milliers de lapins à travers le monde.
Après des années de lutte et de combat, la méthode substitutive au test de Draize vient enfin d’entrer dans la liste des tests validés par l’OCDE. Si One Voice, en sa qualité de représentant français de la Coalition européenne pour mettre fin à l’expérimentation animale, se réjouit d’une telle avancée, l’association déplore le manque d’investissements dans les méthodes alternatives ainsi que le temps pris par les instances internationales officielles pour valider celles-ci. Les validations peuvent en effet prendre des dizaines d’années comme ce fut le cas pour le BCOP (test d’essai d’opacité et de perméabilité sur la cornée bovine), mis au point dans les années 70 et validé par le Centre européen des méthodes alternatives en 2007 ! Une durée qui n’a bien entendu rien à voir avec celle nécessaire à la validation des tests sur animaux.
L’un des plus douloureux tests
Dénoncé par les associations de défense des animaux depuis de nombreuses années, le test de Draize est l’un des plus douloureux tests de l’expérimentation animale. Le lapin, utilisé fréquemment pour ce test, ne secrète en effet pas de larmes ce qui rend impossible l’expulsion du produit irritant. Pour mesurer le degré d’irritation des cosmétiques ou des substances chimiques à l’intérieur de l’œil, la tête du lapin est emprisonnée dans un carcan, ou ses yeux sont maintenus ouverts en permanence avec des pinces en métal. On verse ensuite dans l’œil de l’animal des gouttes du produit chimique entrant dans la fabrication d’un shampoing ou autre produit de beauté afin d’observer la gravité des lésions oculaires (irritation de la cornée, perforation de l’œil, brûlures, etc.). Le test de Draize est également à la base d’essais mesurant l’ensemble des produits qu’un être humain peut être amené à utiliser comme les produits ménagers, de jardinage, les herbicides, et autres produits chimiques.
Mettre fin à l’expérimentation animale
L’inscription de la méthode alternative à ce test dans le guide de l’OCDE va permettre de sauver chaque année en Europe la vie de milliers de lapins et tout autant, voire plus, aux Etats-Unis et en Asie. Ce succès n’est toutefois qu’une première étape, la méthode n’ayant pas été retenue pour les cas d’irritations légères. One Voice entend poursuivre ses actions et ses combats pour mettre fin à l’expérimentation animale. De nombreuses méthodes remplaçant les tests sur animaux sont disponibles, parfois depuis des années, et toujours en attente de validation par les instances européennes.
Joo
Le Samedi 26 Novembre 2011 à 22:56 - édité Le Samedi 26 Novembre 2011 à 22:58
La Commission européenne autorise enfin une méthode in vitro pour remplacer le test d’irritation cutanée sur les lapins. Cette mesure épargnera les souffrances et la vie de milliers de lapins chaque année. Elle donnera des résultats plus fiables sur la toxicité des produits.
Un test validé et disponible depuis plus de 2 ans La Commission européenne a annoncé, le 23 juillet, l’adoption dans l’Union européenne (UE) d’une méthode alternative pour remplacer le test d’irritation cutanée sur les lapins. Il n’est donc plus permis d’utiliser des lapins pour tester le pouvoir irritant des produits chimiques et des cosmétiques. Dans ce type de test, la peau du lapin est rasée puis le produit est appliqué de façon répétée. Les chercheurs observent et quantifient ensuite les réactions cutanées qui peuvent se produire, notamment de douloureuses inflammations. La méthode alternative retenue est un test in vitro réalisé sur de la peau provenant de personnes volontaires. Ses noms commerciaux sont EpiSkin, EpiDerm et SkinEthic. One Voice et toutes les associations de protection et de défense animales ont fait pression pendant des années pour que l’UE autorise cette méthode, qui a été validée par le Centre européen pour la validation de méthodes alternatives en avril 2007. Il est regrettable qu’il ait fallu plus de 2 ans pour qu’une méthode validée et commercialement disponible reçoive une autorisation officielle dans l’UE.
Un pas vers l’interdiction de toute expérimentation animale Cette mesure constitue une étape importante vers l’interdiction de toutes les expérimentations sur les animaux dans l’UE. Le docteur vétérinaire André Ménache, directeur d’Antidote Europe, précise que l’UE aurait pu effectuer cette démarche depuis longtemps. Il donne un deuxième exemple : le test d’activation des monocytes (MAT), qui pourrait remplacer les tests de pyrogénicité actuellement faits sur des lapins afin de déterminer si un produit pharmaceutique peut provoquer de la fièvre, a été mis au point en 1988. Le MAT se base sur les réactions de globules blancs de personnes qui ont donné du sang. Cette méthode est scientifiquement plus fiable que les tests sur les lapins et ne fait de mal à personne !
Le public doit faire pression sur les autorités Cette méthode a attendu jusqu’a 2006 – soit 18 ans – pour être reconnue apte à remplacer les tests sur lapins. En 2010, l’UE compte remplacer ces tests sur lapins par le MAT, ce qui épargnera la vie de 200 000 lapins par an. Il aura donc fallu attendre 22 ans pour mettre fin à cette pratique cruelle. Il serait souhaitable que le public fasse pression sur les autorités pour accélérer l’adoption de tests sans animaux.
Un test cruel utilisé depuis plus de 50 ans Les médicaments qui s’administrent par voie parentérale (non digestive) sont contrôlés pour éviter toute contamination par des pyrogènes (facteurs provoquant de la fièvre). La principale substance pyrogène, une endotoxine présente dans la paroi d’une bactérie, peut provoquer la production de médiateurs de la fièvre par des globules blancs, en particulier les monocytes et les macrophages.
Le test d’apyrogénicité Dans ce test, les chercheurs injectent la substance à analyser à des lapins dont la température corporelle est surveillée. L’injection est souvent faite dans les veines des oreilles, un lapin peut servir à plusieurs expériences. L’augmentation significative de leur température corporelle révèle la présence de pyrogènes. Cette méthode cruelle est utilisée depuis plus de 50 ans pour contrôler l’innocuité des médicaments.
Avec Chatipi, One Voice apporte une solution globale et originale pour tous les chats délaissés.
Ils sont aujourd’hui plus de 8 millions, abandonnés ou nés dans la rue, à être condamnés à une vie misérable marquée par la faim, la maltraitance et une mort prématurée.
Territoire de vie et de soins pour les chats, Chatipi se double d’un ambitieux programme de réhabilitation du petit félin dans notre société à travers des campagnes d’information et d’éducation.
Installés de préférence dans l’enceinte des maisons de retraite, les Chatipis offrent également aux pensionnaires de ces établissements l’occasion d’entretenir un lien social autour d’une activité vivante, tout en partageant tendresse, douceur et jeux indispensables au bien-être de tous.
La première pierre de Chatipi Dordogne est posée
Octobre 2011. La « Résidence des 4 saisons », à Terrasson (Dordogne), va accueillir le premier Chatipi. Dans le grand parc où chats, résidents et public vont pouvoir partager de beaux moments d’intimité, rencontre avec Monsieur Mickaël Gualde, le directeur de cet établissement d’hébergement de personnes âgées dépendantes.
. Une enquête de deux mois réalisée par One Voice en atteste. Vilipendés par la société, ces chats sont confrontés aux pires difficultés pour survivre et sont traqués aujourd’hui comme des « animaux nuisibles ».
Les faits sont sans équivoque. Alors que le chat est l’animal de compagnie préféré des Français, il est aussi l’animal le moins considéré : si plus de huit millions d’entre eux ont pris place dans nos foyers, ils seraient presqu’autant à errer misérablement dans les rues, sans abri. Aussi incroyable que cela puisse paraître, c’est la triste réalité à laquelle notre enquêteur a été confronté au cours de son investigation. Épaulé par une dizaine de structures spécialisées dans la protection des chats sans abri, il a parcouru pendant deux mois la ville comme la campagne, les usines désaffectées comme les cités sur les traces des chats errants en France. Quel que soit le lieu, la même désolation.
Liberté égale galère
Le chat sans abri, que l’on pourrait croire « libre » et heureux, est en réalité un animal « triste », pétrifié par la peur, souvent malade, toujours sur lequi-vive et dont les seuls buts de la journée sont de trouver sa nourriture et un abri pour se cacher. Comme le montrent les images que notre enquêteur a rapportées, en ville les chats se terrent sous les voitures, dans des vide-sanitaires souvent insalubres, des caves où parfois ils restent enfermés ou emmurés vivants.
Hors de la cité, ils se réfugient dans des sites désaffectés ou sous des abris de fortune, une vieille bâche, des tôles abandonnées. Pour se nourrir, les plus chanceux ont droit à des repas préparés par des associations et disposés çà et là. Les autres font les poubelles, sont condamnés à se mettre en chasse ou à se contenter d’un peu d’eau boueuse lapée dans une flaque. La dégradation de leurs conditions de vie est cause de nombreuses maladies. Poil terne, sale, pelage hérissé, yeux purulents sont souvent les manifestations, entre autres, du coryza, de la gale des oreilles, de la teigne ou encore du sida du chat. Un chat sans abri est en effet mille fois plus exposé à la maladie qu’un chat domestique.
Objets de violence
Autre aspect du peu de considération des chats dans notre société : la cruauté avec laquelle ils sont traités. Notre enquêteur a rapporté nombre d’exemples de chats martyrisés par les adultes comme les enfants. En la matière, l’imagination est diabolique à l’instar de ce « jeu de l’hélicoptère » consistant à attraper un chat par la queue et à le faire tourner jusqu’à rupture de celle-ci. Chats des villes ou chats des champs, ils sont pareillement les exutoires d’une violence extrême allant des jets de pierre, au coup de fusil ou à l’empoisonnement pour les uns, à l’écartèlement sur une poubelle avec du scotch, aux taillades à coups de cutter ou aux mises à feu pour les autres. Leur prolifération, est aujourd’hui considérée par une large partie de la population et des municipalités comme une nuisance à laquelle l’euthanasie massive est la seule réponse.
Cet état de fait est pourtant le fruit de l’irresponsabilité des propriétaires de chats et de l’inaction des pouvoirs publics. Pour un chat stérilisé combien d’autres ne le seront jamais ? Sauver les chats Un autre destin pour ces « compagnons de vie » est pourtant possible.
Sauver les chats
Des expériences menées conjointement par des associations de protection des chats sans abri, des bailleurs et des municipalités ont permis d’instaurer une cohabitation paisible et harmonieuse tout en régulant le nombre de chats. C’est le cas de l’École du Chat de Poitiers (ecoleduchat.poitiers.free.fr) ou l’École du Chat Val d’Yerres et de Seine (www.chatlibr...) en région parisienne que notre enquêteur a pu visiter. Mieux, le chat est au centre de projets pédagogiques ou vecteur de lien social. C’est dans cet esprit qu’a été conçu « Chatipi », un projet porté par One Voice dans le cadre d’une vaste campagne destinée à réhabiliter le chat au sein de la société et à le préserver de la vie misérable décrite dans les deux vidéos ci-après.