Un Pitbull sauve son maître d’une attaque de requin !

En juillet dernier, James White avait pris place au bord du rivage de Bodega Bay, en Californie. Objectif : sortir du gros poisson. Au bout de sa ligne, un requin. Ce dernier, après avoir été remonté à la surface, s’est mis à agripper la cheville du pêcheur, qui a heureusement pu compter sur son chien pour se tirer vivant de cette mésaventure.

Illustration : "Un Pitbull sauve son maître d’une attaque de requin !"

Les marques de James White à sa jambe lui rappellent, encore, ce à quoi il a échappé. Le 21 juillet dernier, ce pêcheur californien pratiquait son sport-passion depuis le rivage de Bodega Bay dans le comté de Sonoma. Le tout en laissant son fidèle chien Darby dans sa voiture, en raison de la forte circulation dans cette zone.

Lui voulait simplement passer du bon temps, à pêcher du poisson. Mais sa dernière prise fut une totale surprise. Une mauvaise surprise. La ligne de James s’est mise à se tendre. Il a fallu une dizaine de minutes au pêcheur pour remonter sa prise. Lorsqu’elle fut à quelques mètres de la surface, dans des eaux moins profondes, James a pu définir ce qu’il voyait sous ses yeux : un requin plat-nez.

Une morsure au niveau de l’artère

Mais en lui enlevant l’hameçon, James a été sévèrement mordu par le requin d’1,80 mètre au niveau de la cheville. « Il y avait du sang partout. La morsure avait perforé une artère », raconte-t-il à NBC. James ne parvenait pas à se défaire de l’emprise du requin. Ses cris, pour alerter d’autres pêcheurs, se révélèrent infructueux. Enfin, presque. Car Darby, lui, avait réussi à quitter l’habitacle de la voiture pour venir secourir son maître.

Ce dernier ne tergiversait pas. Il attaquait une première fois le requin au niveau de ses branchies. Mauvaise tactique. Car la pression de la mâchoire s’accentuait sur la jambe de James. Alors, Darby a visé la queue. C’était gagné. Le Pitbull de plus de 100 livres avait pris le requin par l’arrière, et le traînait désormais sur la colline.

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James se chargeait, par la suite, de le remettre à l’eau. Soulagé du dénouement qui n’aurait sûrement pas été aussi beau sans son chien. « Ça aurait été bien pire, c’est certain. » Il sera éternellement reconnaissant envers son chien. Et pas certain que, la prochaine fois, Darby soit laissé dans son véhicule…

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