Après son décès, une femme a légué un gros héritage à ses chats

C’est dans le quartier du Bronx à New York que deux chats coulent des jours heureux, après avoir hérité de la fortune de leur maîtresse. Elle avait en effet, rédigé son testament en ce sens.

Illustration : "Après son décès, une femme a légué un gros héritage à ses chats"

C’est inévitable, quel que soit le statut social, la mort finit toujours par frapper à la porte. En prenant de l’âge, il convient de préparer ce moment en rédigeant un testament. Mais il faut aussi prendre quelques précautions nécessaires au bon déroulement des choses après le décès. De même, lorsque l’on est propriétaire d’animaux, il s’agit de savoir à qui les confier le moment venu. En effet, trop d’animaux se retrouvent seuls et abandonnés, suite au décès de leur maître.

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Le Telegraph UK rapporte que « Sans testament ou accord, les proches peuvent sentir une sorte de pression face aux responsabilités qu’engendre l’adoption de l’animal de compagnie du défunt. Ils ne veulent pas être responsables, certains animaux s’enfuient ou se laissent mourir ». Dans le Bronx, une histoire a fait la une des journaux. Une femme a décidé de léguer une grande partie de sa fortune à ses deux chats adorés : Troy et Tiger.

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Ellen Frey-Wouters était employée aux Nations Unies, mais était plus connue pour sa plume. En effet, elle était l’auteur du roman « Legacy of a War : American Soldier in Vietnam ». Ellen était une réelle activiste, plaidant pour ce qui lui semblait juste. Mais sa plus grande passion était ses chats. À 88 ans, elle passait le plus clair de son temps avec les aides-soignants et ses deux félins.

Plus les jours passaient et plus Ellen s’inquiétait du sort de ses animaux après sa mort. Veuve depuis 1989, elle n’avait pas d’héritier puisqu’elle avait perdu son enfant unique très jeune. Dahlia Grizzle, son aide-soignante à domicile a déclaré que « ses chats étaient comme ses bébés ».

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Lorsqu’Ellen est décédée, sa fortune totale s’élevait à 2,5 millions d’euros. Son frère ne voulait pas s’occuper de ses chats et sans héritier direct, elle a eu l’idée de faire don de plus de 250 000 euros à ses félins. Son avocat Irwin Fingerit a tenté de l’en dissuader : « Je lui ai rappelé le cas de Leona Helmsley, qui a légué plus de 54 000 euros à son chien et qui est passée pour folle. Mais non, non, Ellen a insisté. Elle voulait être sûre qu’ils seraient entre de bonnes mains ».

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Ce sont finalement Rita Pohila et Dahlia Grizzle, les aides-soignantes à domicile à qui Ellen avait légué 42 700 euros chacune, qui ont respectivement adopté un chat. Aujourd’hui, Troy et Tiger profitent de la vie en dégustant des mets raffinés comme du filet mignon. Toutes les factures liées aux frais des animaux sont payées par les fonds laissés par Ellen.

Si toutefois les chats venaient à mourir avant que la totalité des fonds ne soit utilisée, le restant sera automatiquement reversé à la sœur d’Ellen, restée aux Pays-Bas, leur pays d’origine. Le reste de sa fortune a été distribué à divers organismes de charité et à son avocat.

2 commentaires

  • Invité

    Invité a écrit : 06/05/18

    en France cela n'a aucune valeur, et j'ai entendu à la radio des témoignages de notaires qui ont affirmés que dans des cas semblable en France la premiere mesure des premieres personnes sur la liste de succession a été de faire euthanasier l'animal, alors il faut choisir une autre méthode légale si vous voulez que votre animal de compagnie survive

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  • Invité

    Invité a écrit : 07/05/18

    très bien

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