Etats-Unis : Ils abandonnent leur chien et veulent l’euthanasier car « stupide »

A 18 ans, Figgy est plus proche de sa fin de vie que du début. Pour autant, ce vieux caniche n’a pas mérité ce qui vient de lui arriver. Une bien mauvaise façon d’ouvrir l’année 2018 que cette histoire qui nous vient tout droit des Etats-Unis, même si la finalité est heureuse.

En vieillissant, un chien montre toujours des signes assez logiques du temps qui passe. Ces signes insupportables pour la famille de Figgy. Dès lors, cette dernière a décidé de l’abandonner dans une clinique vétérinaire et aussi demander une euthanasie, en raison de sa vieillesse, mais aussi de sa stupidité dans des propos rapportés par le personnel de cet établissement.

Bien qu’aveugle, victime d’arthrose et d’une dentition très limite, la santé générale de Figgy était qualifiée de bonne par les équipes de la clinique vétérinaire, qui a pris contact avec l’association Senior Dog Rescue. Aucun produit euthanasiant n’a été administré à cet adorable chien, qui a alors pris la direction de San Francisco.

Dans le document attestant et justifiant son transfert, on peut découvrir les propos de l’ex-famille de Figgy retranscrits par la clinique : « Ne peut être gardé car la femme n’aime pas le chien et qu’il a eu un accident. »

Une nouvelle famille pour Figgy

En Californie, Figgy a finalement retrouvé une deuxième famille provisoire, en la personne de Sherri Franklin, fondatrice de l’association en question. Au lieu de finir ses jours dans un refuge, Figgy est venu garnir le domicile de Sherri. Pour le site The Dodo, qui rapporte l’information, la fondatrice de Senior Dog Rescue explique simplement que Figgy « était un petit insecte adorable et qu’il dormait avec moi recroquevillé sous mon aisselle. Je l’aime tout simplement ».

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Un amour qui a permis à ce chien de 18 ans de figurer sur le site internet de l’association dans la catégorie des chiens qui ont besoin d’une dernière famille pour finir leur vie. Eileen, une Américaine, a aussitôt sauté sur l’occasion, à la plus grande joie de Sherri Franklin, tout heureuse de savoir que celui qui est passé un court instant dans son refuge terminera ses jours entouré d’affection.