Alain Delon veut mourir avec son chien, Loubo

Grand acteur du cinéma français, Alain Delon s’est confié cette semaine à Paris-Match, notamment sur sa relation particulière avec les animaux, et son chien actuel, Loubo. A tel point que l’homme de 82 ans l’assure, il veut mourir en même temps que son Berger Malinois. S’il part avant ? Son chien sera piqué.

Illustration : "Alain Delon veut mourir avec son chien, Loubo"

A 82 ans, Alain Delon est l’une des grandes figures du cinéma français. Et comme toute personne d’un certain âge, l’idée de disparaître demain ne lui est pas insensible. S’il vit seul, à Douchy, dans sa grande et vaste propriété, il peut compter sur son chien, Loubo, un Berger Malinois âgé de 3 ans.

L’homme est un amoureux des animaux depuis sa tendre enfance. L’acteur voue un culte pour ces bêtes qu’il prend soin de choyer depuis de longues années. Auparavant, il ne quittait pas son chat à 3 pattes. Il dormait même avec après l’avoir sauvé d’une piqure prévue par sa propriétaire. Sa propriété abrite même 35 tombes, comme il le déclarait au Parisien il y a quelques années : « J'ai eu jusqu'à 14 chiens en même temps. J'ai une chapelle sur ma propriété. Autour de celle-ci, 35 de mes chiens sont enterrés. C'est toute ma vie. » « Quand les chiens sont en couple, je les mets ensemble. » Un cimetière pour chien qu’il ne voudrait quitter pour rien au monde au moment de son décès. « Je veux être enterré au milieu de mes bêtes », assurait-il à Gala il y a peu.

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Une relation particulière avec Loubo

Néanmoins, Alain Delon fait parler de lui cette semaine pour d’autres propos, tenus à Paris-Match. Quoi qu’il arrive, d’après lui, ses dernières volontés sont d’être enterré avec…son chien, avec lequel il partage une relation fusionnelle : « J'ai une relation particulière avec celui-là. Il m'agace parce qu'il ne veut pas monter les escaliers et, du coup, je ne dors pas avec lui, mais ça viendra. Il a son caractère, il n'aime pas tout le monde. Il me manque quand je ne suis pas avec lui. […] S'il devait mourir avant moi, ce que j'espère, je n'en pren­drais pas d'autres. Si je meurs avant lui, je deman­de­rais au vété­ri­naire qu'on parte ensemble. Il le piquera afin qu'il meure dans mes bras. Je préfère ça plutôt que de savoir qu'il se lais­sera mourir sur ma tombe avec tant de souf­france. »

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